Je pense que c’est ce qui a fais mon bonheur et aussi mon malheur !
Comment expliquer cela, ou plutôt faire la différence !
Depuis mon jeune age, ma soif de savoir , de connaître, me pousser a faire les choses pas comme les autres, et a vivre les choses pour pouvoir goûter ou juger, car  si une tiers personne essaye de t’expliquer, ça n’aura jamais le même goût ou la même saveur.
Cette curiosité m’a fait un peu goûter et fais vivre des choses, a quoi je n’avais pas droit !
Ma première curiosité je l’ai assouvi très jeune, étant une fille,vivant avec 3freres, j’avais constater déjà que notre anatomie, était différente, et ce qui m’intriguer le plus, c’est qu’ils pouvaient faire pipi debout et moi non, pourtant j’ai essayer, je me suis plus asperger les jambes, les chaussures, donc j’ai su que je ne pouvais pas faire cela de la même manière !
Je n’ai jamais compris pourquoi, je voulais faire comme eux ? mais faute de ce que mon corps ne pouvait répondre  aux même exigence que le leur, j’ai essayer de jouer comme eux de m’habiller de la même façon, j’y suis arrivé et quelque fois je les battais a leur propre jeux ! mais a l’age de 10ans, commence notre « conditionnement », c'est-à-dire notre éducation de fille, pour pouvoir vivre dans la société, et surtout, que j’étais une femme, et que je devais m’en tenir a ça ! donc on nous programme, on nous explique ce qui est interdit pour nous, et qui forcement ne l’est pas pour les hommes ! déjà on commence a se poser des questions et a les poser a ceux qui ont ériger ces loi, quelque fois on avait droit a une réponse, mais d’autres c’était :c’est comme cela, et ne cherche pas a comprendre ! mais pour mon malheur je n’accepter pas ce genre de réponse, donc puisque on ne voulais pas m’expliquer certaines choses j’essayais de les découvrir moi-même !ce fut très difficile, il m’arrivais de me retrouver dans une impasse, , mais je ne comprenais pas pourquoi les gens gardaient le silence, parce que je trouvais que toutes mes questions, étaient pour moi un apprentissage, pour ce qui m’attendais ! ne pouvant trouver de réponses chez les humains, j’ai essayer de m’informer par le billet des livres, qui étaient rare, je veux dire ceux qui pouvaient m’apprendre ou répondre a mes questions !donc les années passèrent, mais j’étais une « incomprise », je voulais parler on me bâillonner, je voulais essayer on m’a emprisonner, je voulais toucher, on m’a donner des tapes sur la mains ! mon dieu mon envie de savoir était trop forte, mais j’étais étroitement lier, donc mon envie de découvrir un homme, de connaître la sexualité, de faire l’amour, je ne pouvais goûter a cela que par le mariage, j’avais hâte de connaître, car ce que j’ai lu dans les livre, me donnait un avant goût de ses plaisirs, et le soir dans mon lit j’en rêvais !

Je crois que j’étais trop jeune pour essayer d’analyser, ou d’essayer de comprendre certaines choses dont on ne parlait pas, j’avais hâte de connaître  tout ce qu’on m’avais cacher !
C’est drôle, qu’a une jeune fille on refuse certaines réponses, alors que pour une femme marié non, je n’ai jamais compris cela, de toutes les façons je crois ne jamais avoir compris, comment raisonnent les gens, car quand il fallait parler ils se taisent et quand il faut se taire ils parlent et en plus pour dire n’importe quoi !
Je crois que ma plus grande curiosité fut vis-à-vis de « l’homme » ! déjà jeune je voulais lui ressembler, en grandissant j’ai commencer a remarquer les différence, et j’avais des exemples sous les yeux, par mes frères et mes cousins, les étranger je ne pouvais ni les approcher ni les analyser !, donc je me suis dis c’est le « cobaye » de choix serait un mari, car je  devais tout partager avec lui , le jour comme la nuit !

Mais j’ai décidé d’observer et de poser des questions aux femmes mariées ! Vu mon jeune âge je ne savais pas comment m’y prendre, donc j’ai trouvé une femme assez complaisante pour m’éclairer sur ses rapports avec son mari ! elle lui laissa l’initiative de tout, elle a  crue a un moment que c’était ça, mais a vite très vite déchanter, car elle  n’avait  pas droit a aucun chapitre, il fallait qu’elle se  soumette, et pas le droit de dire qu’elle  n’était pas d’accord.
elle  ne pouvait trouver de secours nulle part, car il y avait cette loi du silence, mais a  fini par comprendre ce qu’on attendait de elle, subir, et se soumettre, au point qu’elle avait  l’impression d’etre rabaisser au stade d’animal, , manger boire, quémander quelque caresse de son maître, des qu’il rentre il fallait frétiller de la queue pour lui montrer qu’elle était  contente de son retour.
Etant vraiment innocente sur le chapitre sexe, elle  crue qu’allait être initier a cela, mais je crois qu’elle avait compris ça toute seule, et apparemment ça ne se passe pas comme cela, et que  ressentir  du plaisir ou non, cela n’était pas important, l’essentiel c’est l’homme, et il ne fallait surtout pas le dire, car ça fait mauvais genre, , oui c’est une des leçons de conditionnement, ou plutôt du programme qu’on  fais suivre aux filles !

En entendant cela comment continuer a se taire, pourquoi n’a-t-elle pas le droit de gouter au plaisir ?comme toutes on lit tellement de choses sur l’amour, sur les amants ,et moi-même celui qui m’a fasciné fut « l’amant de lady chatterley »,et là on comprend que quand l’époux n’arrive pas a donner du plaisir, il fallait aller le prendre ailleurs !es ce juste ?